Bovins de boucherie Recul de la demande parisienne
Les grandes métropoles se vident pour laisser la place aux touristes étrangers. La demande en viande se tasse sérieusement en femelles de qualité bouchère et seules les races prisées par la restauration restent correctement valorisées (aubrac, salers).
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Les transactions sont calmes et seule la modestie de l’offre permet de tenir les prix des bonnes femelles blondes d’Aquitaine à Cholet. Les vaches U de plus de 500 kg se valorisent entre 4,40 et 4,70 €. Cette modestie de l’offre permet une reconduction des prix également en charolaises avec des U qui se situent entre 3,80 et 4,05 €. La gamme des vaches R se maintient entre 3,50 et 3,75 €, avec une moyenne proche de 3,65 €. Les O restent malmenées et vendues entre 3,00 et 3,45 €.
Dans le Grand Ouest, les prim’hosteins P+/O– lourdes se vendent de 2,82 à 2,88 €. Les tarifs se situent autour de 2,95 € dans le centre et le sud du pays, où les disponibilités sont moindres. Les vaches P3 lourdes (+280 kg) se négocient entre 2,70 et 2,80 €. La pression commerciale reste marquée sur les vaches légères en manque de finition.
Le commerce est assez régulier en jeunes bovins, face à la modestie saisonnière de l’offre. Les tarifs se maintiennent autour de 3,80 € dans les charolais U à Cholet.
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